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Carpe Diem ?

7 septembre 2006

Je ne me comprends pas moi même

telephoneParfois je ne comprends pas mes réactions. Pas de coup de fil hier soir, c'est pas si grave. Et pourtant que je lui ai parlé aujourd'hui, j'étais fâchée. Franchement ! C'est du n'importe quoi ! J'aurais pu le taquiner gentillement. Mais non, j'ai fait ma mauvaise tête.

C'est fou quand même de réagir comme une espèce de folle contrôlante. Je n'aime pas ça. Comme si je devenais dépendante de ses coups de téléphone. Franchement ! Je ne m'empêche pas de vivre quand il n'est pas là, alors pourquoi il n'en ferait pas autant. 

Pourquoi j'ai réagit avec excés ? La façon dont il m'a répondu ?  Grrrrrrrrr. Je me hais, je le hais ! (je sais c'est ridicule, mais ça fait du bien quand ça sort !)

Ce soir je me trouve stupide ! Vraiment stupide !

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1 septembre 2006

Étrange sentiment

Au détour d'un couloir, inévitable, je suis tombée sur lui... je ne m'y attendais pas. Étrange sentiment que de croiser son ex, après plus d'un an. Nous ne sommes pas restés trés longtemps ensemble, certes, mais j'ai toujours eu le goût de quelque chose d'inachevé. J'aurai voulu lui expliquer plein de choses... mais en même temps, on avait souvent rien à se dire malgré les plétors de points communs que nous avions.

C'est vraiment étrange... j'aurais presqu'envie de le recroiser, par hasard....

29 août 2006

Je ne suis pas fière

blumen_rechtsJe l'ai vu, avec son chapeau... son chapeau qui cachait son crane lisse, lisse d'une chimio certainement intensive. C'est une ancienne collègue de travail. Je m'arrête toujours pour la saluer, lui demander des nouvelles, jaser du bon vieux temps, elle me tient au courant des potins des uns et des autres. Il y a quelques mois, j'ai appris que son cancer avait recommencé. Je ne l'avais pas revu. Je prennais des nouvelles, d'une amie commune. Ça semblait aller mieux, malgré les traitements, les effets secondaires et tout le reste.

Aujourd'hui, je l'ai reconnu furtivement, je ne suis pas allée la voir... je n'ai pas pu, je n'aurais pas su quoi dire : alors, comment vas tu ?" . Une phrase d'une banalité extrême, aurait été ici déplacé. Je n'avais pas envie de la gêner... mais dans le fond, c'est moi qui n'avait pas envie d'être gênée.

Je me trouve lâche, vraiment ! Je ne suis pas fière de moi. Et le pire, c'est que si c'était à refaire... j'ai bien peur que je n'irai pas la voir... comment réagir ? Je n'ai jamais su... faire comme si de rien n'était ? Demander des nouvelles, les traitements et le reste ? J'ai peur de la blesser par des paroles mal placées (je suis douée là dedans en plus !), je ne sais pas...

24 août 2006

Seasons of love

Five hundred twenty-five thousand
Six hundred minutes,
Five hundred twenty-five thousand
Moments so dear.
Five hundred twenty-five thousand
Six hundred minutes
How do you measure, measure a year?

In daylights, in sunsets, in midnights
In cups of coffee
In inches, in miles, in laughter, in strife.

In five hundred twenty-five thousand
Six hundred minutes
How do you measure
A year in the life?

How about love?
How about love?
How about love? Measure in love

Seasons of love. Seasons of love

Five hundred twenty-five thousand
Six hundred minutes!
Five hundred twenty-five thousand
Journeys to plan.

Five hundred twenty-five thousand
Six hundred minutes
How do you measure the life
Of a woman or a man?

In truths that she learned,
Or in times that he cried.
In bridges he burned,
Or the way that she died.

It's time now to sing out,
Tho' the story never ends
Let's celebrate
Remember a year in the life of friends
Remember the love!
Remember the love!
Seasons of love!

Oh you got to got to Remember the love! remember the love,
You Measure in love know that love is a gift from up above Seasons of love.
Share love, give love  spread love Measure measure you life in love.

rent_collage

18 août 2006

Here and now

kids_friendshipDe beaux moments d'amitié cette semaine, qui ont su apaisé cette petite boule dans l'estomac. D'abord une conversation sur msn avec mon « autre », lui que j'ai tant fuit et vers qui je reviens toujours. Sans jugement ni apréhension. Il a toujours été là, comme j'ai toujours été là pour lui. Des mots doux, des mots tendres, des mots d'amitié qui ont traversé l'Atlantique dans un souffle. Une phrase «égoistement, j'aimerai que tu reviennes» ou encore « fais ce qui te rend heureuse», « quoique tu fasses je serais là», «le travail et l'argent n'est pas tout dans une vie, si tu n'es pas heureuse...» . Ce sont des mots qui réconfortent tellement ! J'avais besoin de savoir qu'il allait être là, quoi que je décide. Qu'il me confirme ce que je pensais tout bas.

Et aujourd'hui, moi qui doutais, un coup de fil: «je passe à ton bureau». Une conversation de filles entre quatre murs défraichis, des confidences à demi-voilées, des sentiments ressentis à l'identique. On s'est à nouveau comprise. Des mots d'amitiés à peine chuchoté, comme si parfois c'était difficile de dire ce que l'on ressent profondément. Une envie partagée de rester là, de figer le moment. Une amitié profonde et sincère.  J'avais besoin de le savoir.

Ce que je retiens des ces deux belles conversations, c'est que ce qui compte c'est « ici et maintenant »: ce que l'on fera dans 5 ans, 10 ans n'a pas d'importance finalement. Les choses peuvent changer en un rien de temps, sans avertissement. Naïvement j'ai toujours cru à la légende personnelle de Coelho, à ce phénomène mystique qui fait en sorte que l'univers conspire pour que tu arrives à obtenir ce que tu désires.

De manière pragmatique mon «Ici et maintenant» va plutôt bien. Je sens que je vais arriver au bout de mon cheminement, dans quelques semaines ou dans quelques mois. Un jour, je vais savoir, comme j'ai toujours fini par savoir quoi faire. Patience donc...

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16 août 2006

Boulimie d'émotion

purjus2La reprise en main de mon alimentation s'avère chaotique... c'est de ma faute, quand je me sens vide, je mange, pour me remplir certainement. Je sais que ce n'est pas la solution : 1) ça donne mal au coeur, 2) une fois digérée, on se sent tout aussi vide et hop c'est le cercle vicieux.

 

En quelque sorte, le bouffe ça devient comme une drogue, nourrir non pas pour se rassasier, mais bien pour combler un manque... arf. Me voilà à nouveau accro à la bouffe. Comme tous les accros, il faut passer la sevrage. Alors voilà :  Je me sevre de la mal-bouffe : vive les fruits et les légumes, les fibres, les légumineuse !  Évitons pendant quelques semaines les chocolats chips et autres substituts caloriques jouissifs !

 

Et surtout, remettre un peu d'ordre dans ma vie, dans ma tête.  C'est un tout de toute manière, je le sais. Quand je suis mal dans ma vie, je suis mal dans mon corps !

 

Le tout c'est de le savoir, d'en perdre conscience et de faire ce qu'il faut pour ne pas que l'obésité reprenne le dessus !

11 août 2006

On y croit

Reglette regime

J'ai besoin de me remotiver, pour ne pas perdre tous les efforts mis en oeuvre jusqu'à maintenant... un petit 10 kg encore, ce n'est pas grand choce, n'est ce pas ?!?!?

 

Il me faut ressortir mes livres, ma balance à aliments et hop... Ça a marché une fois, il n'y a pas de raison que ça ne fonctionne plus maintenant !

7 août 2006

Achat maintenant

Appuyez sur le bouton bleu et confirmer... confimer un vol vers là bas. Un Aller simple, sans retour. Juste repartir, et tout laisser derrière. Partir comme si de rien n'était... Ne pas avertir personne, comme si rien n'avait exister, et ne garder que les bons souvenirs...

 

Allez  voir là haut, après le 50ième, ne pas te dire pourquoi, juste en profiter, te dire aurevoir, et merci. Ta mère te dira certainement qu'elle savait...
T'inviter à une soirée du tonnerre, comme avant, comme au début. S'enfiler un pichet après l'autre et finir sur un épisode de la ptite vie. Te laisser une note, parce que je n'aurais pas été capable de te dire aurevoir en face.
Et toi, là bas, à 6 heures de route. Tu n'as pas l'air de comprendre, les pleurs de la fin de semaine, le malaise au téléphone, devant le fait accomplit, le choix serait fait. Sans toi.

 

Finalement, j'ai fermé le navigateur.

 

Là bas, peut-être que les larmes cesseront, peut-être pas. Et si ce n'était que le pansement, et pas le remède...

 

avion

6 août 2006

Un dimanche sur deux : semaine 2

16h55: mes bagages sont dans l'entrée. Un dernier coup d'oeil, pour ne rien oublier.  C'est l'heure du dernier baiser, celui pour dire au revoir, une étrainte : merci, un regard : je t'aime. Je retiens mes larmes : 5 dodos cela passe vite (mais moins que 2 dodos de fin de semaine). "Tu pleures pas, hein ?" ; "Ben non, je suis forte. Prend soin de toi, à vendredi !".

 

La forme se referme sur l'arrêt d'autobus. Je suis forte... par tant que ça. Je ne me retourne pas. Je sais que tu me regardes. La fin de semaine est terminée, six heures de route pour se rappeler et penser à la prochaine fois. Et espérer que la vie sans toi soit un jour la notre sous le même toit.

3 août 2006

Envie d'autres horizons...

valiseUne envie de voyage tout simplement. Une envie qui fini par m'opprésser parce que je n'ai pas la possibilité de le faire : pas de vacances, pas d'argent. Dans ces cas là je me dis qu'être adulte "ça craint". J'ai la nostalgie des ces mois de vacances d'étudiants, où il était possible de faire tellement de choses. D'ailleurs pourquoi à ce moment, voyager ne m'interressé pas plus que ça ?

Pour certains je suis en perpétuel voyager car je n'habite pas ;à bas. Mais ici c'est aussi la routine. Et la routine m'agace. Je veux partir avec mon sac à dos, me laisser porter par une nouvelle culture, un nouveau mode de vie. Me laisser entraîner pas l'insouciance du voyageur sans tenir compte de la routine du quotidien : vélo, boulo, dodo.

Aujourd'hui, l'Europe me manque. Tellement de possibilité de voir autre chose en peu de temps. En quelques heures, on change de langue, de paysage, de culture et sans frontière. Un dépaysement total.

Je ne veux pas remettre constamment mes projets de découvertes, et me dire dans quelques années que j'aurais loupé les opportunités pour le faire. C'est maintenant que la vie doit se vivre, pas demain... demain il sera trop tard !

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